1 février 2011
Travailler à l'aube me rafraîchit comme un baiser
Travailler à l'aube me rafraîchit comme un baiser que l'on aurait déposé sur mes lèvres. Lèvres de l'aube encore offertes à la nuit.Deux notes qui s'embrassent comme chez Mozart, dans la pénombre, dit le poète. Baiser volé. Relation d'amitié furtive avec...