14 août 2011
Parole calcinée dans l'entrebaillement de
Parole calcinée dans l'entrebaillement de l'alcool des songes. Murée à ton pied sous le décor abscons. Le jour ne s'efface qu'à mesure que tu recules. Le miroir te rattrape là où tu pensais te dérober. Toi moi sur la corde du temps tressons de vieilles habitudes. Nous nous tutoyons derrière la porte close. Hier s'approche de l'enclos des souvenirs téméraires. Nous marchons dans l'illusion du feu de la relation qui se couche dans les mains brûlées de la peur.
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